Profitant d’un bel après-midi j’ai rechaussé mes croquenots de marche pour aller un peu plus loin que Dimanche dernier. Montant la rive du Grand Morin je retrouve les paysage de mon enfance : la plaine, un château d’eau et le blé qui commence à sortir de terre. J’en oublierait presque mes humeurs contre les VTTistes qui salopent toujours les chemins sans égards pour les autres usagers des chemins.
Le ruisseau gazouille dans les bois, un vrai cliché.
Dessins d’arbres.
Le passage des encombrants est pour demain.
Et même de quoi reposer le marcheur fatigué.
J’arrive à Mouroux. Du pont sur le Morin d’en vois en autre, masse de béton maintenant inutile.
Un classique de la campagne en hiver : la clématite sauvage joue au cotonnier.
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